CQS Evidence
Notre histoire

Jim Bancel

Depuis que je suis enfant, j’ai toujours eu cette fascination pour la construction. Des heures passées à assembler des Lego, à imaginer des structures improbables, à donner vie à des idées avec mes mains. Avec le recul, il n’est pas étonnant que je sois devenu ingénieur : c’était simplement la suite logique de cette passion.

Cette envie de créer ne m’a jamais quitté. Elle m’a même conduit à mener deux projets qui ont marqué ma vie : la rénovation d’une 4L pour participer au 4L Trophy, puis la restauration d’un vieux voilier. Aujourd’hui encore, je navigue chaque semaine sur le Léman, porté par le vent et par la satisfaction d’avoir redonné vie à ce bateau.

Les voyages, eux, ont toujours fait partie de mon ADN. Mes parents, tous deux dans le milieu, m’ont fait découvrir dès le plus jeune âge les plus belles régions du monde, souvent depuis des hôtels qui semblaient sortis d’un rêve : l’île Maurice, Dubaï, Hong Kong, Miami, La Réunion…
Plus tard, grâce à mon travail, j’ai eu la chance d’explorer des endroits où je n’aurais probablement jamais mis les pieds : les deux Congos, le nord de la Jordanie, la Slovénie ou encore le nord de l’Italie.

Voyager est devenu pour moi presque vital. Une année sans partir, sans ce souffle d’ailleurs, me laisse comme un vide, une impression de manquer quelque chose d’essentiel.

Alors, naturellement, l’idée s’est imposée : pourquoi ne pas combiner ce besoin de voyage avec mon amour du travail manuel ? Et qu’y a-t-il de plus évident, de plus cohérent, qu’un voilier ? Un objet que l’on entretient, que l’on comprend, et qui vous emmène là où le vent décide.

Dans un monde où tout va trop vite les journées enchaînent travail, sport, repas, sommeil on ne prend plus le temps. Tout devient course, urgence, automatisme. Le voilier, lui, impose un autre rythme. Il invite à se recentrer, à savourer le chemin plutôt que la destination, à avancer au gré du vent plutôt qu’à la vitesse imposée par nos vies modernes.

C’est cela que je cherche : retrouver du sens, du temps, du souffle. Et le voilier est devenu mon moyen d’y parvenir.

Lucas Marie

Moi c’est Lucas, passionné d’aventure, de découverte, de voyages et de défis en tout genre.

Lorsque j’étais encore enfant, j’habitais en campagne normande. Avec un ami, nous avions déjà un goût prononcé pour l’aventure, l’inconnu et la découverte. Un de nos jeux favoris était de se fixer une direction au hasard en partant du village et d’aller le plus loin possible tout droit dans cette direction, peu importe les obstacles sur notre route.
C’est comme ça que l’on a commencé à explorer les forêts, les bâtisses abandonnées, les champs, tous les paysages qui nous entouraient.

J’ai grandi avec ce goût du mouvement et du voyage. Il n’était pas rare que certains soirs, avec ma mère, nous prenions la voiture pour rouler sans direction ni but, juste pour bouger.

À partir de 13 ans, j’ai commencé à voyager à travers l’Europe avec des amis de l’époque, pour participer à des tournois de jeux de cartes. Nous jouions à Yu-Gi-Oh, et quelle chance que les tournois nous forcent à voyager. Chaque tournoi était un prétexte pour voyager.
C’est comme ça qu’avant mes 18 ans, j’avais déjà parcouru l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la République tchèque, les Pays-Bas plusieurs fois.

En 2021, à 24 ans, j’ai quitté la Normandie pour m’installer en Haute-Savoie.
La montagne a amplifié tout ce que j’aimais déjà : l’extérieur, le mouvement, la nature brute, les efforts qui t’obligent à te mettre face à toi-même.
C’est là que j’ai vraiment compris que ce besoin d’aventure faisait partie de ma manière de vivre.

Plus tard, je suis devenu coach sportif pour être encore plus au cœur du mouvement, du dépassement et de la capacité à se fixer de grands objectifs avec une programmation permettant de les atteindre.

Et c’est exactement ce que nous faisons avec ce projet : acquérir un bateau et le mettre en état de nous permettre d’accomplir notre plus grand projet : parcourir le monde entier à son bord.